La santé intégrative est un concept liée aux pratiques complémentaires à la médecine conventionnelle. Elles ont porté diverses appellations depuis leur essor en Europe.
Les pratiques complémentaires regroupent les médecines naturelles à base de plantes, de l’utilisation de l’eau comme les cures et les techniques manuelles, médecines douces comme l’homéopathie ou la phytothérapie médecines traditionnelles, parallèles car hors du cadre académique, médecines parallèles et alternatives car non démontrées par la science, médecines alternatives et complémentaires qui font l’objet d’études scientifiques.
La médecine traditionnelle a une longue histoire. C’est la somme totale des connaissances, des compétences et des pratiques fondées sur les théories, les croyances et les expériences propres à différentes cultures, qu’elles soient explicables ou non, utilisées dans le maintien de la santé ainsi que dans la prévention, le diagnostic, l’amélioration ou le traitement. de maladies physiques et mentales.
– Les termes « médecine complémentaire » ou « médecine alternative » font référence à un large éventail de pratiques de soins de santé qui ne font pas partie de la tradition ou de la médecine conventionnelle du pays concerné et ne sont pas pleinement intégrées au système de santé dominant. Ils sont utilisés de manière interchangeable avec la médecine traditionnelle dans certains pays.
– Les médicaments à base de plantes comprennent les herbes, les matières végétales, les préparations à base de plantes et les produits finis à base de plantes, qui contiennent comme ingrédients actifs des parties de plantes, ou d’autres matières végétales, ou des combinaisons.
– L’OMS définit les médecines complémentaires pas comme des “médecines » mais des techniques empiriques de traitement pouvant rendre certains services en complément de la thérapeutique à base scientifique de la médecine. Ce sont un ensemble de pratiques ou les patients sont considérés dans leur globalité, au sein de leur contexte écologique ».
Classification et inventaire
L’institut National de la santé aux USA (National Institute of Health, NIH) a ouvert un département de recherche sur ces médecines dès 1999. Elles ont trouvé leur place dans de nombreux pays de la communauté européenne sauf en France. Et pourtant, l’OMS avait défini une stratégie d’application des « Médecine Traditionnelle, Thérapies Complémentaires et de Médecine Intégrative, jusqu’en 2024 » auquel la France a adhéré.
Le NIH a répertorié plus de 4000 pratiques réparties comme suit :
- Les systèmes médicaux parallèles: systèmes complets avec fondements théoriques et pratiques (Homéopathie, naturopathie, Médecine Traditionnelle Chinoise, Ayurvéda…)
- L’approche corps-esprit: action de l’esprit sur le mécanisme de guérison (Prière, méditation, art, musique, danse…)
- Les traitement à fondement biologique: substances naturelles (Suppléments, aliments, vitamines…)
- La manipulation du corps: ostéopathie, chiropraxie, massothérapie…
- Les traitements énergétiques: Qi gong, reiki, bio électromagnétisme, utilisation des champs d’énergie…
Le système de santé amorce un grand virage, capital pour notre avenir. L’intérêt porté aux pratiques complémentaires à la médecine conventionnelle explose ces dernières années : le nombre de personnes qui se tournent vers ces pratiques est exponentiel. Il y a plus de 400 médecines complémentaires répertoriées, elle est utilisée par plus de 60% des français. Entre 2013 et 2016, il y a eu une hausse de 234% de l’utilisation de ces pratiques.
Comment sont perçues ces pratiques ?
70% des personnes ressentent des effets positifs dont l’efficacité en matière de prévention et d’utilité en complément de la médecine conventionnelle. La majorité des personnes ressentent des effets positifs entre la deuxième et la troisième séance et plus rarement dès la première séance.
Les avantages des pratiques complémentaires sont une approche globale de la personne, une relation humaine privilégiée. Elles sont perçues comme étant plus respectueuses de l’organisme et de l’environnement que la médecine conventionnelle. Elles paraissent moins encadrées et efficaces, moins innovantes, moins accessibles à tous, moins crédibles, moins efficaces et moins encadrées par des instances professionnelles. Les français ont une image positive de ces pratiques, perçues comme efficaces pour soigner des petits maux en complément de la médecine conventionnelle, alors que leur scientificité et leur efficacité contre les maladies graves les divisent (Etude Harris Interactive).
Les personnes qui ont recours à ces pratiques estiment le faire essentiellement en complément de la médecine conventionnelles, pour des questions de bien-être ou de soins complémentaires, pour un tiers des personnes interrogées. Il s’agit d’un premier choix pour répondre à un besoin spécifique ou à titre préventif. Pour d’autres personnes, elles consultent suite à l’échec d’un traitement médical traditionnel. Dans ce cas précis, lorsque la médecine n’a rien trouvé suite à une panoplie de diagnostic, alors l’origine du mal se situe sur un autre plan, émotionnel, mental ou énergétique. La dimension énergétique ou vibratoire de l’humain est difficile pour le corps médical. Et pourtant, le père fondateur de notre médecine, Hippocrate parlait de la force vitale qui anime chaque être. Il semble que cette notion ait disparue des manuels des étudiants en médecine. Et pourtant, cette notion d’énergie appliquée à l’humain a été reprise par le père de l’hypnose monsieur Mesmer qui parlait de magnétisme animal, par Wilhem Reich qui parlait de l’orgone, et par Freud qui parlait de la libido.
La confiance des français envers ces pratiques est de 51%. Ceci est tout à fait compréhensible car la principale difficulté est de trouver un praticien de qualité. Or, il n’existe pas de critères de sélection de celui-ci comme il n’existe pas non plus de critères de sélection d’un bon médecin, d’un bon boulanger ou d’un bon maçon. Les recommandations d’une personne à l’autre, le fameux « bouche-à-oreille » reste le plus pertinent. Et encore dans ce cas précis, c’est le médecin qui vous oriente vers un spécialiste parce qu’il le connait. Eh bien, cela pourrait être de même pour les pratiques complémentaires, l’idéal serait que le médecin oriente son patient vers un praticien en qui il a confiance.
Santé intégrative et médecine conventionnelle
Là est le cœur du problème, la difficulté d’implantation des pratiques complémentaires dans le parcours de soin du patient. Les médecins ignorent ce monde et pire encore, pour la majorité d’entre eux, ils n’y croient pas. Comment savoir ce que sont pratiques s’ils ne se sont pas documentés sur le sujet. Et pourtant, la littérature scientifique sur le sujet est considérable mais méconnue. De plus, pour connaître une pratique, rien ne vaut l’expérience. Heureusement, de plus en plus de personnes du corps médical testent ces pratiques et ose se faire accompagner et se former pour compléter leur propre pratique. La difficulté à laquelle ils sont confrontés est le manque de temps.
Les principaux critères dans le choix d’un praticien reposent sur des enjeux de crédibilité, de sérieux et d’accessibilité financière et géographique. Les principaux critères de choix d’un praticien sont les suivants : sa formation, ses diplômes, la certification par une instance professionnelle, les tarifs de consultation, la recommandation par d’autres professionnels de santé ou d’autres praticiens, son expérience, son ancienneté.
Les pratiques les plus courantes
Les pratiques de santé intégratives les plus courantes sont l’ostéopathie, l’homéopathie, l’acupuncture, la psychologie, la diététique, la sophrologie, la chiropraxie, la naturopathie et l’hypnose. Ces données sont issues d’une étude menée par Harris Interactive effectuée en 2018. Depuis ces dernières années, l’hypnose a pris un essor considérable, il est fort probable que le pourcentage d’utilisateur de l’hypnose ait fortement augmenté.
Un sujet qui revient régulièrement : le coût des séances
Une étude menée en 2018 par Statista, sur le budget consacré à ces pratiques révèle que 13% des personnes ne veulent pas payer ce type de soin. Ceci est assez intéressant : la personne ne veut pas dépenser d’argent pour sa santé si ce n ‘est pas pris en charge par la sécurité sociale et la mutuelle. Ceci signifie que la personne est prise en charge, passive et ne s’implique pas pleinement dans sa santé. 43% veulent bien payer jusqu’à 50 euros, 29% entre 50 et 100 euros, 8% entre 100 et 150 euros, 4% entre 150 et 200 euros et 3% plus de 200 euros. Celles-ci voyant l’essor des médecines complémentaires ont intégré leur remboursement.
Les principaux freins à l’utilisation des pratiques complémentaires
44% des personnes trouvent le coût de la séance trop élevé. 64,7% ne sont pas remboursés par la sécurité sociale, 9,4% estiment que n’étant pas recommandées par le médecin, elles ne sont pas fiables, 17,9% des personnes ne savent pas qui consulter, 21,4% ne savent pas ou consulter et 2,7% n’ont pas assez de preuves que cela fonctionne.
Les pratiques complémentaires se sont invitées à l‘hôpital depuis 2012 (AFSOS, 2012 – THERAPIES_COMP_J2R_2012_12_07.pdf ). Il est intéressant de noter que lorsque le sujet de ces pratiques est abordé, il l’est toujours par le corps médical, des médecins, des infirmiers et des paramédicaux, des représentants de patients. De ce fait, elles portent une autre appellation : les soins de support. Et encore, ils sont restreints à certaines pratiques qui ont réussi à se frayer un chemin comme l’ostéopathie, la sophrologie, le toucher thérapeutique éventuellement la réflexologie plantaire.
La question que je me pose : où sont les principaux intéressés, les praticiens ou les représentants des praticiens, quelle que soit la méthode ? Ce qui laisse supposer que ces pratiques vont peu à peu être récupérées par le corps médical. Or, notre vision et notre regard porté sur l’humain est différente et complémentaire.
Qu’est-ce qui différencie la médecine conventionnelle et les pratiques complémentaires ?
Médecine conventionnelle | Pratiques complémentaires |
Savoir | Croire |
Maladie | Malade |
Passif | Actif |
Objectif | Subjectif |
Corps | Énergie |
Matériel | Spirituel (Âme et Esprit |
Extrériorité | Intériorité |
Visible | Invisible |
Réparation | Régénération |
Dans quel cadre a-t-on recours aux pratiques complémentaires ?
Complément de traitement conventionnel |
Diminution des effets secondaires – Détoxification |
Insatisfaction de médecine conventionnelle (Canada 51%) |
Echec de traitements conventionnels allopathiques |
Approche globale |
Amélioration de la qualité de vie, du bien-être physique, émotionnel, mental et énergétique |
Gestion des troubles mineurs |
Visée préventive |
Relation médecin-patient différente |
La maladie a un sens, c’est le langage du corps |
Questionnement existentiel: le vécu de la personne prime |
Régénération: croisement thérapeutique (corps) et spirituel (âme) |
Les problèmes des pratiques complémentaires
Le principal problème à la reconnaissance de ces pratiques est soi-disant l’absence de données scientifiques démontrant leur efficacité, leur sécurité, leurs mécanismes d’action.
Il y a en premier lieu une méconnaissance du corps médical sur l’ensemble des études scientifiques effectuées par des organismes de recherche d’état majoritairement aux USA et au Canada. En 2023, j’ai répertorié dans les banques de donnée 43 300 publications scientifiques et médicales sur l‘acupuncture, 334 pour l’hypnose, la réflexologie plantaire 19 353, la méditation 9877, le yoga 8033, le Tai Chi Chuan 2368 et le toucher thérapeutique 3407.
Les études scientifiques et médicales sont toutefois ciblées par exemple, la recherche en ostéopathie cible les douleurs articulaires, l’acupuncture les douleurs lombo-pelviennes de la grossesse, l’hypnose la gestion de la douleur et l’induction anesthésique.
De plus, la mise en œuvre d’études sur le format actuel c’est-à-dire établir des protocoles d’études sur des groupes de personnes pour faire des statistiques qui valident leur efficacité ou leur innocuité sont inadaptés. La raison est la suivante : ces pratiques prennent en considération la personne dans sa globalité et surtout, chaque être est unique, ce qui est bon, efficace et valide pour une personne ne l‘est pas pour l’autre. L’individualité prime. Un autre point important est que la plupart de ces pratiques relèvent de la remise en circulation d’énergie dans le corps comme peut le faire l’acupuncture ou l’ostéopathie par exemple, ce qui sort du cadre de l’entendable par la médecine, l’énergie appliquée à l’humain. Tout ceci suggère qu’il est nécessaire de développer d’autres approches expérimentales pour valider ces pratiques.
Elles n’ont pas trouvé leur place en France et nous voici déjà à l’ère de la médecine intégrative qui est la collaboration entre la médecine conventionnelle et les pratiques complémentaires.
La santé intégrative, souvent associée à la médecine intégrative ou la santé globale, renvoie à l’intégration de pratiques complémentaires (Acupuncture, yoga, Hypnose, Sophrologie, Toucher Massage, Activité Physique Adaptée, …), qui font l’objet d’une évaluation scientifique sur leur sécurité et leur efficacité, en lien avec la médecine conventionnelle.
La Santé Intégrative tient compte de la personne dans sa globalité (somatique, psychique, social, familial, culturel, …) et développe un accompagnement personnalisé, associant les deux approches tout en prenant en compte la personne dans globalité. Dans cette démarche, les différents aspects du mode de vie de la personne sont pris en considération et la place de la prévention est essentielle.
Le maitre mot est ” interdisciplinarité “, où comment une équipe peut apporter tous les soins nécessaires, qu’ils proviennent de la médecine conventionnelle ou des pratiques complémentaires. La Santé Intégrative met en valeur le rôle du patient/personne, en tant qu’acteur de sa santé au sein d’un réseau responsable et durable de santé pour tous.
La médecine intégrative, qui combine des pratiques de médecine conventionnelle et complémentaire évaluées scientifiquement, est essentielle dans la prise en charge de la douleur. C’est l’’approche interdisciplinaire qui sera primordiale à l’avenir et l’importance de passer de la médecine intégrative à la santé intégrative. Il ne s’agit plus seulement d’informer ou de proposer diverses approches, mais de permettre à la personne de les intégrer dans sa vie quotidienne et de développer un véritable art de vivre pour un changement durable. Établir un équilibre quotidien, y compris l’alimentation, le sommeil, l’activité physique et le bien-être émotionnel, est crucial. Les pratiques complémentaires replacent la personne dans son environnement familial, social, professionnel, dans ses relations avec le monde et lui-même, en activant ses forces et ses ressources.
L’unité dans la diversité constitue le principe même de la médecine traditionnelle, complémentaire et intégrative. Déclaration du docteur Hans Henri P. Kluge, directeur régional de l’OMS pour l’Europe, à l’occasion du Sommet mondial de l’OMS sur la médecine traditionnelle à Gandhinagar (Inde)
Lors de la réunion de haut niveau des Nations Unies sur la couverture sanitaire universelle qui s’est tenue en 2019, les chefs d’État et de gouvernement ont reconnu la nécessité d’inclure des services de médecine traditionnelle et complémentaire à l’efficacité avérée, en particulier dans les soins de santé primaires, pierre angulaire des systèmes de santé, afin de parvenir à la santé pour tous. Aujourd’hui, la médecine traditionnelle et complémentaire est bien établie dans de nombreuses régions du monde, où elle joue un rôle important dans la culture, la santé et le bien-être de nombreuses communautés. Dans certains pays, elle constitue un volet important de l’économie du secteur de la santé et, pour des millions de personnes dans le monde, il s’agit de la seule source disponible de soins de santé.
La médecine intégrative est devenue un phénomène mondial : la demande est croissante, et les patients souhaitent mieux prendre en charge leur santé et leur bien-être, tout en recherchant des soins de santé plus compatissants et plus personnalisés.
L’OMS avait mis en œuvre sa deuxième Stratégie pour la médecine traditionnelle 2014-2023, axée sur l’élaboration de normes, de critères et de documents techniques fondés sur des informations et des données fiables afin d’aider les États Membres à fournir des services de médecine traditionnelle et complémentaire, sûrs, qualifiés et efficaces et leur intégration appropriée dans les systèmes de santé. Nous entrons dans une autre stratégie actualisée pour la période 2025-2034.
Complémentarité entre médecine intégrative et médecine conventionnelle
Lors d’un discours, le chef de l’OMS a rappelé l’histoire de la médecine traditionnelle, qui est aussi ancienne que l’humanité elle-même. Tout au long de l’histoire, les peuples de tous les pays et de toutes les cultures ont eu recours à des guérisseurs traditionnels, à des remèdes maison et à des connaissances médicinales ancestrales pour répondre à leurs besoins en matière de santé et de bien-être.
Pour le chef de l’OMS, la médecine traditionnelle n’appartient pas au passé. Elle fait l’objet d’une demande croissante dans tous les pays, toutes les communautés et toutes les cultures. « À un moment ou à un autre de notre vie, la plupart d’entre nous auront recours à une forme ou à une autre de médecine traditionnelle », a-t-il affirmé.
La médecine traditionnelle, complémentaire et intégrative est particulièrement importante pour la prévention et le traitement des maladies non transmissibles et de la santé mentale, ainsi que pour un vieillissement en bonne santé. L’OMS a ainsi retracé une longue histoire, notamment quand il y a plus de 3 500 ans, les Sumériens et les Égyptiens utilisaient l’écorce du saule comme analgésique et anti-inflammatoire.
Quand on lit « Remettre de la spiritualité dans l’approche de la santé », c’est retrouvé des avoirs ancestraux et redonner une place à l’âme et à l’esprit. Si nous prenons exemple des médecins d’Amérique du Sud, qui viennent régulièrement en Europe pour partager leurs savoirs sur leur façon d’appréhender un patient et sa maladie, l’âme a tout sa place et je dirai même, la première place avant d’effectuer quoique ce soit avec la personne. C’est retrouver notre humanité et considérer une personne avec ses dimensions corporelle, émotionnelle, mentale et spirituelle.
La majorité des maladies ont une origine émotionnelle ou psychosomatique ou psycho-émotionnelle. Alors s’occuper du corps physique oui, mais pas seulement. Que faisait le médecin de famille, il venait visiter le malade chez lui dans son environnement familial et se préoccupait aussi de savoir ce qui se passait dans la famille qui impactait la personne. Aujourd’hui, le médecin qui ne s’occupe que du corps physique, n’a pas le temps de s’interroger sur ce qui vit la personne. Or, c’est justement ce que fait un praticien en méthodes complémentaires, il ouvre un espace-temps qui permet à la personne de mettre des mots et de faire des liens avec ce qui a été vécu et plus ou moins bien intégré et qui l’a rend malade.
La médecine intégrative ne peut exister que dans une collaboration entre le médecin et le praticien. Seulement voilà, ce sont deux univers distincts ne se connaissent pas. D’abord il y a ce manque de crédibilité en ces différentes techniques or je le répète, il y a bon nombre d’étude sur le sujet et puis, la principale difficulté est la mise en relation de ces deux mondes.
Heureusement, il y a une génération de médecins ouverts à ces pratiques qui font l’effort d’aller à la rencontre de praticiens pour expérimenter et se faire une idée du praticien et de la méthode car, rien ne vaut l’expérience.